Écrire, c’est comme cuisiner. Pensez-y la prochaine fois que vous mangerez des frites !

Les gens (vous et moi) n’aiment pas lire n’importe quoi sur le web. Ils n’aiment pas lire des choses écrites n’importe comment.

Chose est le mot qui s’adapte le mieux à cette réalité. Il est parfaitement vague, comme le disait un de mes profs de français.

Il décrit une réalité mal définie composée de fautes :

• d’orthographe, 
• de frappe, 
• de style, 
• de ponctuation, 
• de grammaire, 
• de conjugaison,
• de sens, 
• de liaison 
• et de goût ! 

Voici une comparaison pour bien marquer l’absurdité de la situation :

« Si cette chose infestée de fautes devait se manger, alors personne n’oserait y toucher. »

C’est clair ! Pas assez ? 

Alors, voici une métaphore pour nous aider à mieux appréhender cette réalité.

Imaginez des frites taillées dans des patates vertes qui ont la dartrose, baignées dans un bain d’huile végétale de deux ans d’âge et garnies d’un ketchup bourré de colorants, d’additifs et de conservateurs, mais périmé depuis 10 ans, et d’une mayonnaise avec des oeufs à la salmonelle !

Qui oserait les manger ?

Qui oserait manger cette chose ?

Les gens aiment les frites comme ils aiment lire sur le web.

Mais, ce qu’ils veulent, ce sont des frites faites avec des produits frais et de qualité par un bon cuisinier.

Les gens aiment lire sur le web comme ils aiment manger des frites.

Ce que les internautes veulent lire, ce sont des textes originaux et bien écrits par un rédacteur professionnel.

Moi et mes compères du digital, on ne cuisine pas dans un restaurant. On conçoit et réalise des sites avec un contenu haut de gamme pour votre communication web.

Pour ma part, j’écris des articles de blog depuis 20 ans et je développe le contenu de sites web depuis 30 ans. Je suis aussi un ancien journaliste de presse écrite, quand le web n’existait pas encore. J’ai commencé ma carrière à France-soir. Je suis aussi écrivain et j’ai publié plusieurs livres. 

La rédaction web est un métier et j’aime répéter que « Tant qu’il y aura des rédacteurs, nous pourrons lire sur le web et sur les autres supports. »

Alors, comme il vous appartient de vouloir manger des frites saines ou avariés, vous pouvez décider de confier le contenu de votre communication web à un professionnel des mots ou non. 

Une personne qui sait raconter votre histoire, l’histoire de votre idée, l’histoire de votre entreprise, mettre en valeur des témoignages et qui réussit à rendre unique votre communication pour capter l’attention et gagner la confiance des internautes et des potentiels clients.

Poursuivons notre comparaison avec les frites. 

Vous achetez des pommes de terre et une huile de bonne qualité. Vous avez trouver un fournisseur. Et qu’allez-vous lui commander ? Un kilo de patates et deux litres d’huile ? 

Je ne crois pas, le fournisseur ne sera pas d’accord, il vous dira d’aller au supermarché. Votre commande se chiffrera en plusieurs kilos de patates et plusieurs dizaine de litre d’huile.

C’est la même chose avec les mots. Ne commandez pas un seul article de 500 mots, vous servirez peu de clients.

Combien de tables y a-t-il dans votre restaurant ? Ne prenez pas le risque de servir une seule frite par convive, le mécontentement serait garanti.

Votre blog et vos réseaux sociaux peuvent accueillir des centaines d’articles et s’il y en a autant, c’est parce que chaque client est unique et parce qu’un chef digne de ce nom fait son marché chaque jour. 

Vous voyez, les deux domaines s’entrecroisent, car ils ont la même finalité : la satisfaction du client, que dis-je la satisfaction, l’enchantement du client (j’ai collaboré au livre Le Marketing de l’Enchantement de Guy Couturier aux éditions Kawa). Car le Chef gagne des étoiles quand ses plats vous surprennent et le rédacteur web quand ses articles vous étonnent. Autrement dit, quand ils dépassent vos attentes, et quand vous donnez envie à vos clients de parler de vous.

Écrire, c’est comme cuisiner. Pensez-y la prochaine fois que vous mangerez des frites !

Tout le monde cuisine chez soi, c’est normal. Tout le monde n’a pas un restaurant.

Ne mettez pas vos textes dans toutes les mains. 

Écrire, c’est comme cuisiner. Pensez-y la prochaine fois que vous mangerez des frites !